Une correspondance signée le 2 avril dernier par le sous-préfet d’Ambam, Mveng Ndongo Yannick Antoine, suscite une vive controverse au Cameroun. Intitulée « Identification des personnes non autochtones vivant dans les villages de vos cantons », cette lettre invite les chefs de cantons à procéder à un recensement des populations non autochtones dans plusieurs unités de commandement traditionnel.
Une menace grave pour la cohésion sociale
Par Thomas Tankou_____________
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