Le ministre délégué auprès du ministre de la justice a visiblement perdu le sommeil depuis l’annonce du retour de celui que les fans appellent affectueusement “Lorenzo”.
Et pour cause les cafouillages amoncelés au ministère de la justice pendant la longue absence de Laurent Esso de son poste pour des raisons de santé.
Jean De Dieu Momo entre panique et colère
Par Thomas Tankou_____________
Le retour du Ministre d’État et Garde des Sceaux, a provoqué une onde de choc au sein du ministère de la Justice. Après une longue absence pour des raisons de santé, son retour est perçu comme un coup de pied dans la fourmilière, révélant des tensions latentes parmi les acteurs clés du ministère. Au cœur de cette agitation se trouve Jean De Dieu Momo, ministre délégué, dont la réaction rapide et émotive soulève des questions sur la dynamique interne au sein du ministère.
Réaction de Momo : Une panique inattendue…
Il est remarquable de noter que la colère de Momo s’exprime alors même que le journal l’Anecdote n’a pas explicitement cité son nom. Dans son message, Momo interpelle le directeur de publication, demandant des clarifications sur des insinuations qu’il interprète comme visant sa personne. Cette réaction peut sembler disproportionnée, mais elle traduit une préoccupation profonde : la peur d’être perçu comme un conspirateur ou un allié de ceux qui auraient profité de l’absence de Laurent Esso.
Momo déplore également la façon dont le journal semble encourager des divisions au sein du ministère. En se positionnant ainsi, il fait preuve d’une sensibilité accrue aux implications de sa position. Son besoin de se défendre témoigne d’une vulnérabilité personnelle, exacerbée par une atmosphère de méfiance qui semble s’être installée pendant l’absence du ministre.
Stratégie de communication du journal…
L’Anecdote, par son titre évocateur “La fin de la recréation”, laisse entendre qu’une période d’inactivité, voire de désordre, a prévalu au ministère durant l’absence de Laurent Esso. Les allusions aux “Saul de Tarse” dans le message de Momo suggèrent une connotation biblique de trahison et de persécution, impliquant que certains membres du ministère auraient agi dans l’ombre.
Cette stratégie de communication du journal, bien qu’implicite, crée un climat d’incertitude et de suspicion, et semble avoir été conçue pour provoquer des réactions comme celle de Momo.
Atmosphère de méfiance
La panique de Momo peut également être interprétée comme un reflet d’une atmosphère de méfiance au sein du ministère. L’absence prolongée de Laurent Esso a laissé un vide que d’autres acteurs ont peut-être profité pour établir des alliances ou redéfinir leur pouvoir. Momo, en tant que ministre délégué, se trouve dans une position délicate. Il doit non seulement prouver sa loyauté envers Esso, mais aussi maintenir sa propre légitimité et influence.
Vers une réévaluation des alliances…
La situation actuelle au ministère de la Justice est révélatrice des tensions internes qui peuvent émerger dans des contextes de leadership vacillant. La réaction de Momo, bien que compréhensible au regard de ses préoccupations personnelles et professionnelles, met en lumière la nécessité d’une communication claire et d’un leadership unifié. À mesure que Laurent Esso reprend ses fonctions, il sera crucial de réévaluer les alliances et de rétablir la confiance au sein du ministère afin de prévenir d’éventuelles divisions qui pourraient entraver son fonctionnement. Le défi qui attend Momo et ses collègues sera de transformer cette crise en une opportunité de renforcement des liens et de la cohésion au sein de l’équipe.
