Dans une nuit où l’espoir de nombreux Camerounais se heurte aux dures réalités de la politique, Atanga Nji a commis un acte qui restera gravé dans les annales de l’histoire politique au Cameroun.
L’acte de tricherie du Minat n’a aucun effet, après convocation du corps électoral
Par Thomas Tankou____________
En effaçant le nom d’Anicet Ekane, président national du Manidem, pour le remplacer par celui de Yebga Dieudonné un ex militant du parti sur le site web du ministère, il a démontré un mépris flagrant pour la démocratie et l’intégrité électorale.
Une falsification sans conséquence…
Cet acte, bien qu’odieux, ne porte pas atteinte à la candidature de Maurice Kamto. Au contraire, il révèle le désespoir et la peur du régime en place face à une éventuelle défaite électorale. Les juristes s’accordent à dire que cette manipulation n’a aucune valeur juridique ou administrative.
Maître Roland Dieuwou est péremptoire : » cette falsification, survenant après la convocation du corps électoral et la clôture de la réception des candidatures, est inopposable à qui que ce soit. » Sérine-t-il !
Un Signe de faiblesse et de filouterie administrative…
La tentative de déstabiliser la candidature de Maurice Kamto, candidat investi par le Manidem, en utilisant des moyens aussi vils met en lumière l’incapacité du régime à faire face à un adversaire politique. Au lieu de se concentrer sur des stratégies constructives, les dirigeants choisissent la voie de la tricherie. Cela soulève des questions sur l’éthique et l’intégrité des processus électoraux au Cameroun.
Appel à la vigilance…
Il est impératif que les citoyens camerounais restent vigilants face à de telles manœuvres. La démocratie ne peut survivre que si les électeurs sont conscients des irrégularités et s’engagent à défendre leurs droits. Le 12 octobre, lors de la prochaine élection présidentielle, il sera crucial de faire entendre la voix du peuple, malgré les tentatives désespérées de manipulation.
Dénoncer collectivement ces manœuvres indignes d’un État moderne…
La fraude au sommet de l’État, comme celle orchestrée par Atanga Nji, ne doit pas passer inaperçue. Les acteurs de la société civile, les juristes et les citoyens doivent s’unir pour dénoncer ces pratiques indignes et garantir un scrutin transparent et équitable. Maurice Kamto, en tant que candidat, doit être soutenu dans sa quête pour une élection libre, loin des atteintes à la démocratie.